Nouvelle édition revue par l'auteur
1ère édition : 2003 - Ed. Labor : ThéGlacé
Dans cette 2° partie de la Trilogie
des illusions, Pedro se décide enfin. Il
quitte Lisbonne. Mais au lieu de partir en Inde, vers les
racines de son père, il traverse le miroir des
civilisations, à la découverte du Maroc. Il trouve son
voyage agaçant et sans intérêt. A Marrakech, il n’espère
qu’une seule chose : retourner dans sa ville blanche. Il va
recevoir un signe éblouissant : l’arrivée sur le trône de
Mohammed VI. Cet événement temporel dans l’histoire d’un
pays deviendra un événement spirituel pour Pedro. Road-book
loin des clichés sur le Maroc, ce deuxième roman de Patrick
Lowie part à la quête de soi, des origines, de la sexualité,
critiquant avec beaucoup de finesse un monde conformiste et
violent.
Je me réveillerai à l’aube. Mon visage sera éclairci par un nouveau soleil fait de nombreux rayons. De très nombreux rayons. L’idée est cohérente. Je vais appeler son père et toute sa famille et raconter mon histoire. Sans les détails provocants bien sûr. Je vais leur raconter pourquoi je suis arrivé dans ce village. Quelle a été mon idée ? Et ma pensée. Mes besoins vitaux à ce moment-là. C’est ce que je ressens le mieux. C’est lui qui découvrira le message. On réunit tout le monde. Je raconte. A la fin de cette histoire trop peu romancée. Un mot. Rien.
Car La légende des amandiers en fleur est aussi un roman avec une vision politique du monde. Contre les sociétés où sévit la violence. La consommation. Contre l'impérialisme américain. Un roman qui nous laisse l'espoir d'une place pour chacun d'entre nous.
Michel Zumkir,
Promotion
des Lettres Fédération Wallonie-Bruxelles, Les Carnets
et les Instants numéro 128 – mai/septembre 2003
Le narrateur jette un livre de Houellebecq. Quel sens donner à son geste ?
Marc Emile BARONHEID,
Week-end Le Vif/L’Express du 16 mai 2003
Il suffit de prendre connaissance de quelques passages du livre pour démontrer à quel point Lowie possède une écriture à la fois poétique et dérangeante.
Richard CHARTIER,
rgmag (Montréal-Québec) avril 2003
Tel Wenders, Lowie nous promène dans la vie de son héros sur fond de fado puis d'un silence tout désertique et magnifique à la fois, à l'écoute de ses cicatrices jamais refermées et qui pourtant, au bout de la route, s'effaceront à jamais.
Jean-Mary MARCHAL,
Gaysthouse.com du 28 avril 2003
Un livre qui accorde une large place aux rencontres, au hasard, à l'évocation des lieux, des gens et des atmosphères. Usant d'une écriture poétique, mais somme toute efficace (...) Nous suivons ainsi la quête et les états d'âme d'un personnage qui cherche à faire taire son tourment intérieur (...) A chaque fois, je me fais la réflexion qu'il y a du Jean-Louis Murat chez Patrick Lowie.
Pierre Salducci,
Être Montréal, Novembre 2003
C'est dérangeant de lire dans votre roman : "Je pensais que les Arabes étaient violents. Impénétrables et surtout insensibles. Je me suis trompé. On m'a trompé." Comment envisagez-vous une relation de communication avec les Arabes et les musulmans, avec ce genre de violence symbolique ?
Tarik Essaadi,
Emarrakech du 22 avril 2003
La légende… – F. FERRAND, dans IB, mai 2003
Serge Fige a lu pour vous – Serge FIGE pour Fashionfact
Rencontre avec l’auteur de La légende des amandiers en fleur
– Libération (Maroc) 14 octobre 2003
La légende des amandiers en fleur – BL – Têtu n°77 avril
2003
Interview au mensuel Tels Quels – date non communiquée
Poétique ou chaotique ? – Chantal pour Activ’elles 14 mai
2004
Lowie et sa légende – Nicolas Desroches
La légende des amandiers en fleur – Notes de lecture de
Janick Belleau